Pointe Percée (ARAVIS) par la voie normale, le topo ...
Accès et itinéraires :
Déniv : +1200m / - 1200m
alt max : 2752m
pente max : 50°
Cette fois, c'est une équipe franco colombienne qui s'attaque au sommet des Aravis par sa voie normale : la Point Percée.
Accès et itinéraires :
Déniv : +1200m / - 1200m
alt max : 2752m
pente max : 50°
Après un petit arrêt à la terrasse d'un bar du Grand Bornand, nous remontons vers le col des Annes où nous laissons la voiture (1721m).
De là, la Pointe Percée est visible et nous marchons vers le Col de l'Oulettaz (1925m) pour arriver au refuge de Gramusset (2164m) où nous attendent bières, crozets et diots.
Le lendemain matin, nous partons vers 7h30 vers le pierrier sous la pointe, bien à gauche de la Combe des Verts. Il n'y a plus de névé sur notre chemin.
Après le pierrier, l'itinéraire remonte plusieurs petites barres rocheuses, quelques rampes assez exposées exigeant de courts passages d'escalade (III) pour passer d'une vire à l'autre. Globalement la voie est assez bien marquée (peinture orange) et termine par une arête assez aérienne et exposée menant au sommet (2752m).
Durée: 1h30 pour accéder au refuge, puis 2h-2h30 pour le sommet, compter plus large avec des personnes moins à l'aise avec ce type d'itinéraire.
Difficultés :
Beaucoup de descriptions sur internet présentent cette voie normale comme difficile et impressionnante, au risque d'en décourager certains. C'est sûr qu'il faut être sportif et ne pas craindre le vertige, mais cela reste tout à fait accessible pour peu que les moins aguerris soient correctement accompagnés et encadrés, une corde pouvant alors être utile.
Pour le randonneur sur 2 pattes habitué aux sentiers bien marqués, c'est une rando difficile. Pour l'alpiniste ou le grimpeur, c'est une course sympa.
Clairement, ce n'est pas la balade où emmener glacière et belle mère (quoi que ?) mais pour l'avoir redescendu sous l'orage, le déluge et avec 10m de visibilité dans le brouillard voilà quelques années après en avoir fait l'ascension version escalade, ça n'avait pas laissé le souvenir d'un truc très difficile. Et une seconde virée par cette voie normale avec Del (sa première rando voilà dix ans mais elle grimpait déjà beaucoup !) avait confirmé cette impression qu'il n'y a là rien de compliqué.
D'où notre choix, après avoir bien réfléchi, d'y amener des amis pas habitués, en apportant tous le nécessaire de sécurité (casque, corde qui finalement est restée dans le sac) et en prenant bien le temps. Pari réussi : cette course leur laissera un magnifique souvenir.
De là, la Pointe Percée est visible et nous marchons vers le Col de l'Oulettaz (1925m) pour arriver au refuge de Gramusset (2164m) où nous attendent bières, crozets et diots.
Le lendemain matin, nous partons vers 7h30 vers le pierrier sous la pointe, bien à gauche de la Combe des Verts. Il n'y a plus de névé sur notre chemin.
Après le pierrier, l'itinéraire remonte plusieurs petites barres rocheuses, quelques rampes assez exposées exigeant de courts passages d'escalade (III) pour passer d'une vire à l'autre. Globalement la voie est assez bien marquée (peinture orange) et termine par une arête assez aérienne et exposée menant au sommet (2752m).
Durée: 1h30 pour accéder au refuge, puis 2h-2h30 pour le sommet, compter plus large avec des personnes moins à l'aise avec ce type d'itinéraire.
Difficultés :
Beaucoup de descriptions sur internet présentent cette voie normale comme difficile et impressionnante, au risque d'en décourager certains. C'est sûr qu'il faut être sportif et ne pas craindre le vertige, mais cela reste tout à fait accessible pour peu que les moins aguerris soient correctement accompagnés et encadrés, une corde pouvant alors être utile.
Pour le randonneur sur 2 pattes habitué aux sentiers bien marqués, c'est une rando difficile. Pour l'alpiniste ou le grimpeur, c'est une course sympa.
Clairement, ce n'est pas la balade où emmener glacière et belle mère (quoi que ?) mais pour l'avoir redescendu sous l'orage, le déluge et avec 10m de visibilité dans le brouillard voilà quelques années après en avoir fait l'ascension version escalade, ça n'avait pas laissé le souvenir d'un truc très difficile. Et une seconde virée par cette voie normale avec Del (sa première rando voilà dix ans mais elle grimpait déjà beaucoup !) avait confirmé cette impression qu'il n'y a là rien de compliqué.
D'où notre choix, après avoir bien réfléchi, d'y amener des amis pas habitués, en apportant tous le nécessaire de sécurité (casque, corde qui finalement est restée dans le sac) et en prenant bien le temps. Pari réussi : cette course leur laissera un magnifique souvenir.
Cliquer sur la carte pour l'agrandir.
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coucou des altiligériennes! on revoit ces bons moments et on se dit "vivement la prochaine sortie"
RépondreSupprimerbises, nadège et caro